Kronikoù / programmes courts
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Barzhaz
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Un tamm tro ba bro al lennegezh...skrivet ha komzet !
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Bzzz, bzzz, bzzh
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Ur gronikenn diwar-benn ar gwenan hag ar re a vez war o zro, ar wenanerien. Tomaz en deus lakaet 'ba' e soñj mont da welet anezhe bep sizhun... Un doare da ledañ deskamant war ar gwenan ha da reiñ c'hoant d'an dud gwareziñ anezhe marteze a-walc'h !
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Elles ont écrit
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Le samedi et le dimanche à 19h30, Oona Spengler continue son exploration aléatoire de la librairie de Mellionnec "Le Temps qu'il fait" avec les premières pages d'un livre (rediffusion le lundi et le mercredi).
Avec Elise Feltgen, Robin Kerguillec, Etienne Cabaret, Christelle Sery et Grégoire Chomel.
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J'ai tendu des cordes
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Il s’agit d’une série de courts documentaires radiophoniques constituée de portraits sensibles de
musiciens vivant en Bretagne. Elle a pour objectif de mettre en valeur la richesse et la diversité des
parcours musicaux, et de montrer l'aspect humain des artistes musiciens du centre Bretagne.
En tant que musicien en Bretagne depuis plus de dix ans, j'ai eu l'occasion de rencontrer un grand
nombre de musiciens, reconnus ou inconnus, débutants ou confirmés et jouant différents styles de
musique. Je suis toujours surpris par le bouillonnement créatif de ces artistes, et par leur diversité de
points de vue sur leur manière d'envisager la musique. Des chanteurs de fest-noz aux jazzmen, des
rockeurs aux orchestres classiques, des musiciens voyageurs à ceux plus ancrés sur leur territoire, les
façons d'apréhender la musique et les parcours sont très variés. Pour autant de nombreux ponts sont
jetés : on a vu des chanteuses de fest-noz avec des punks (Louise Ébrel et les Ramoneurs de Menhirs), des
bombardes avec des orchestres (Hamon Martin et l'orchestre de Bretagne), des jazzmen rencontrer des
indiens (Nirmaan), et beaucoup d'autres mélanges inattendus.
C'est de cette efflorescence, de cette effervescence, dont je veux témoigner avec cette série de
portraits. En rencontrant chacun de ces musiciens individuellement, en montrant leur ouverture au
monde en tant qu'artiste mais surtout en tant qu'humain, j'espère donner envie aux auditeurs d'être
pareillement ouverts sur l'autre et à l'écoute de la différence créatrice de richesse.
Gabriel Faure, violoniste professionnel depuis plus de dix ans, j'écume les scènes de Bretagne,
du hangar des monts d'Arée au TNB, du Vauban au jardin de particulier. Je joue beaucoup de musiques
différentes, avec une préférence marquée pour les musiques dites "traditionnelles". On me retrouve en
fest-noz bien sûr, mais aussi dans les sessions irlandaises, je joue du bluegrass, de la musique des
balkans, du jazz manouche, des improvisations. Tout ce qui vient, l'important restant de partager avec
des amis.
La diversité des gens que je rencontre, les parcours de vie exceptionnels, les caractères forts
que j'ai pu croiser me donnent envie de témoigner de cette richesse extraordinaire.
Merci à Maëla Baron pour m’avoir aidé à réaliser certains de ces portraits !
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Le traîne-buisson
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L'émission Traîne-buisson est une chronique nature qui traite de sujets environnementaux en essayant d'être le moins rébarbatif possible. On se fiche du nom latin du hérisson mais il est important de savoir comment ranger un tas de bois pour que ce petit mammifère puisse passer l'hiver tranquille ... Bref, un peu de connaissance naturaliste, quelques coups de gueule, une critique de certaines pratiques polluantes, un zeste d'humour (parfois raté) et surtout une passion pour la faune et la flore bretonne.
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Les indispensables
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Ils sont ceux qui font tourner la boutique, contraints d'aller bosser. Ou immobilisés et prisonniers d'une situation qu'ils n'ont pas voulue. Je les ai interrogés au téléphone ou par Skype.
Ils racontent leur mobilisation et se questionnent sur la situation. Ouvriers, employés, aidants, soignants, ambulant, libraire (.), les profils sont différents mais leur colère est commune et partagée.
Ils disent tous plus que la seule crise du coronavirus. Avec leurs mots, ces femmes, ces hommes, racontent le fossé, l'indifférence, l'indigence, le mépris... la solidarité aussi.
Ils sont les Indispensables.
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Teñzor ar brezhoneg komzet
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Un dro-lavar, ur rimadell da selaou, da skrivañ en un tu bennaket, da zeskiñ ha da lâret war-lerc'h...